Sans toi qui n’es pas là
Dans les couloirs de mes chimères.
Sans doute qu’un jour où une nuit.
J’ai surement croisé ton ombre.
Secrètement, tu es dans mes désirs.
Je te cherche à en couper mon souffle.
Lorsque je t’imagine, je frissonne.
Nous aurions eu la même chair, le même sang.
Non, ce n’est pas qu’un rêve éphémère.
Sans toi qui n’es pas là, je m’ennuie.
Dans ma tristesse profonde, je sombre.
Contre moi, je t’aurais protégé avec plaisir.
Sentir l’effleurement de ta fine peau et ton petit souffle.
Hélas, je ne peux sentir l’odeur de ta peau ni celle de personne.
J’aurais voulu tout te donner, jusqu’à mon sang et ma chair, mon enfant.
Mon cœur se meurt d’un amour inconnu et se brise de ne pas être mère.
Derrière mes joies, mes mots, je cache que sans toi, je m’ennuie.
Mes sanglots roulent sur mes joues et mon cœur dans l’ombre.
Jamais je n’oublierais combien tu pouvais être si présent dans mes désirs.
La vie n’a pas voulu que tu sois près de moi, ni que je sente ton souffle.
Les nuits dans lesquelles tu jaillis entre mes rêves, ta voix lointaine résonne.
Bien lourd est mon cœur de n’avoir jamais eu la joie de t'aimer, mon enfant.
Dans les couloirs de mes chimères.
Sans doute qu’un jour où une nuit.
J’ai surement croisé ton ombre.
Secrètement, tu es dans mes désirs.
Je te cherche à en couper mon souffle.
Lorsque je t’imagine, je frissonne.
Nous aurions eu la même chair, le même sang.
Non, ce n’est pas qu’un rêve éphémère.
Sans toi qui n’es pas là, je m’ennuie.
Dans ma tristesse profonde, je sombre.
Contre moi, je t’aurais protégé avec plaisir.
Sentir l’effleurement de ta fine peau et ton petit souffle.
Hélas, je ne peux sentir l’odeur de ta peau ni celle de personne.
J’aurais voulu tout te donner, jusqu’à mon sang et ma chair, mon enfant.
Mon cœur se meurt d’un amour inconnu et se brise de ne pas être mère.
Derrière mes joies, mes mots, je cache que sans toi, je m’ennuie.
Mes sanglots roulent sur mes joues et mon cœur dans l’ombre.
Jamais je n’oublierais combien tu pouvais être si présent dans mes désirs.
La vie n’a pas voulu que tu sois près de moi, ni que je sente ton souffle.
Les nuits dans lesquelles tu jaillis entre mes rêves, ta voix lointaine résonne.
Bien lourd est mon cœur de n’avoir jamais eu la joie de t'aimer, mon enfant.